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# Forum créé le 30 Mars 2015 par Trish et Thélos.
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Contexte
Eius populus ab incunabulis primis ad usque pueritiae tempus extremum, quod annis circumcluditur fere trecentis, circummurana pertulit bella, deinde aetatem ingressus adultam post multiplices bellorum aerumnas Alpes transcendit et fretum, in iuvenem erectus et virum ex omni plaga quam orbis ambit inmensus, reportavit laureas et triumphos, iamque vergens in senium et nomine solo aliquotiens vincens ad tranquilliora vitae discessit.
Evénements
Ego vero sic intellego, Patres conscripti, nos hoc tempore in provinciis decernendis perpetuae pacis habere oportere rationem. Nam quis hoc non sentit omnia alia esse nobis vacua ab omni periculo atque etiam suspicione belli ?
Duplexque isdem diebus acciderat malum, quod et Theophilum insontem atrox interceperat casus, et Serenianus dignus exsecratione cunctorum, innoxius, modo non reclamante publico vigore, discessit.
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 Octavia Zir

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Octavia Zir
Octavia Zir

Octavia Zir



Fiche d'identité.


Octavia Zir 306cbe10
Violet Evergarden de Violet Evergarden
Nom : Zir
Prénom : Octavia
Âge : 19 ans
Lieu de naissance : Zêta
Ville de départ : Au pied des montagnes du côté de Sigma ?
Allégeance : Zêta
Groupe : Citoyen
Starter : Ecaïd




Ton Caractère

Bien que ressentant une révolte, interne, contre sa famille, il serait faux de croire qu’Octavia n’a pas été forgée par cette dernière. Et elle l’a sans doute plus été que ce que même eux aurait pu le penser. En effet, dans un milieu où le paraître est, souvent, plus important que l’être, la jeune fille, d’une droiture crasse, ne sait qu’être. Au du moins n’a que peu conscience du vernis de paraître que son éducation lui à inculquer et est incapable de faire semblant de croire à une valeur.

Ainsi, elle n’a jamais compris le fait tacite que certaines choses pouvaient être contournées pour obtenir un gain personnel ou familial, et elle refusera toujours d’entacher son sens de l’honneur pour moins que le bien de la multitude qu’elle juge être supérieur au reste.

Parangon de justice et de droiture, elle s’en retrouve bien inadapté aux contacts sociaux que les nobles aiment entretenir. Et ce n’est de loin pas le seul problème qu’elle a avec la vie de cour.
En effet, sa curiosité naturelle l’a toujours poussée à vouloir étudier, et si elle aime les échanges enrichissants, elle supporte mal les échanges de futilité si propre aux soirées mondaines qu’elle ne réussit à supporter que grâce à la présence de son pokémon.

Ce dernier, lui a apporté bien plus que se soutient. Elle apprit de lui la témérité, et leurs besoins communs d’exploration la firent développer son ingéniosité et son imagination afin de transformer le manoir qu’elle connaissait comme sa poche en un lieu inconnu et mystérieux.

La seule chose qui fait qu’elle ne semble pas perdue en société et le fait qu’elle dégage une aura de confiance en soi et d’autorité que maints éléments ont servie à forger. Parmi lesquels, ses cours de maintien d’étiquette, déjà, mais aussi le fait d’avoir eu un pokémon très jeune et d’avoir pris cela très à cœur. Ainsi, même si Malal est son seul ami, elle a aussi appris très jeune à se sentir responsable de lui, et il lui aurait été insupportable qu’il lui arrive quelque chose mal, car elle aurait manqué à ce qu’elle estimait être son devoir.

Du fait de son éducation dans un milieu protéger et très fermé sur le reste du monde, et malgré sa soif de savoir, la jeune femme reste bien naïve sur le monde qui l’entoure et sur les rapports entre être humain. Ce qui n’a rien de surprenant étant donné que son seul affectif solide ne la relie même pas à un être humain.

Ayant fini par comprendre que le savoir théorique qu’on lui inculquait n’était qu’un pâle reflet de la réalité, son besoin de connaissance, d’aventure et de découverte finit par la faire se sentir enfermé dans une prison. Et le temps pensant, elle se décida à trouver un moyen de la quitter afin de découvrir le monde par elle-même plutôt qu’au travers des paroles de ses professeurs.



Ton physique.



Sans qu’elle s’en rende compte, tout en Octavia crie haut et fort ses origines. Son maintien ne trompera personne quant au fait qu’elle soit noble, et sa façon de se mouvoir, un mélange de grâce et de puissance contenue (non pas qu’elle soit puissante, juste qu’on lui a appris à bouger comme si elle l’était) pointe clairement vers Zêta pour qui quiconque est familier de la ville.
D’autant plus que sa façon de s’habiller et de se coiffer donne également tout les indices pour pointer vers la cité montagnarde.

De plus, n’ayant jamais vécu la privation ou le manque, la croissance d’Octavia s’est déroulée sans accros, et la petite Zir a fini par devenir plutôt grande. Enfin, disposant d’une santé de fer et ayant bénéficié d’un entraînement régulier, elle a, non seulement, acquis une silhouette fine, mais semble aussi regorger d’énergie et de vivacité., ce qui ne fera que renforcer la certitude qu’elle vient à minima d’un milieu privilégier.

En-dehors de cela, même si elle a eu une adolescence très ingrate en terme physique, son visage s’étant retrouvé à maintes reprises couvert de bouton, elle a fini par la quitter et bien qu’elle ne se juge par forcément belle, elle a la chance d’avoir un visage aux traits fins et réguliers. Dernière touche à ce minois, ses larges yeux, d’un bleu ciel profond, qui la désespère tant ils semblent déterminer à bien trop exprimer ce qu’elle ressent.

Ses cheveux, aussi, ont toujours été une bataille, blond et épais, ce n’est pas tant leur aspect qui pose problème que leurs capacités à se laisser dompter qu’au prix de long effort. Néanmoins, comme une femme de la bonne société se doit d’avoir des cheveux longs, et qu’elle ne supporte de les avoir dans les yeux, elle a toujours consenti à fournir les efforts nécessaires. Ne croyez pas qu’elle ait eu une servante pour s’en occuper à sa place, dans la famille Zir, on juge qu’il est important de savoir s’occuper soi-même de soi, sinon, cela montre une faiblesse inacceptable. Mais, elle doit bien l’avouer, elle a fini par aimer ses moments passer à s’occuper de sa tignasse. Ainsi, vous ne la croiserez presque jamais les cheveux détaché (à moins de la surprendre au saut du lit) et si vous la voyez fréquemment, vous pourriez être amusé en constatant les déclinaisons qu’elle est capable de fournir à partir de la même idée capillaire.




Ton histoire.


Une légende familiale raconte que le premier de notre lignée fût présent lors de la fondation de Zêta. Comme toute les légendes, il n’y aucune preuve qu’elle soit vrai, mais la famille Zir a toujours jugé important de se comporter comme si cela l’était, sans compter que cela donne une explication facile au fait qu’elle fasse parmi des lignées les plus nobles de la cité, après la famille royale, bien sûr. Il en va, donc, de l’honneur et du devoir de la famille que chacun de ses membres soit un parangon des valeurs zêtiennes... Ou dans tous les cas, paraissent l’être... Et surtout, de le faire sans réfléchir à leurs sens et à les interpréter avec un traditionalisme fanatique...

En tout cas, moi, la dernière descendante de cette illustre lignée, c’est l’impression que j’en ai maintenant.

Mais cela n’a pas toujours été le cas.J’ai eu la chance d’avoir une enfance privilégiée. Je n’ai jamais connu la faim, j’ai reçu la meilleure éducation que mes parents pouvaient payer (et la famille Zir ne fait de loin pas partie de la noblesse désargentée, à tel point que des rumeurs disent que dans les caves du manoir familial se cacherait un trésor (ce n’est pas vrai, j’ai vérifié), mais bref, je m’égare), j’ai toujours dormi dans un lit confortable, porté des habits de bonne facture, et la liste n’est pas fini, mais je ne la continuerais pas, elle comporte peu d’intérêt.

Donc, malgré l’absence de contact amical avec des gens de mon âge, les rares d’occasions où j’avais l’opportunité de croiser d’autres enfants étant des événements mondains qui ne se prêtait guère à nouer un quelconque liant, et la surveillance constante qui était exercée à mon égard, je n’ai pas eu à me plaindre. D’autant plus que quand je demandais quelque chose qui n’allait pas à l’encontre de la bienséance, de mon devoir de représentation ou de la tradition, cela m’était en général accordé.

Grâce à cela, j’ai pu étudier les sujets qui m’intéressaient, recevoir les bases du maniement de la rapière, cela cadrant tout à fait avec l’aspect fort et inébranlable que ce doit d’avoir un Zir, mais surtout, j’ai eu le droit d’avoir un pokémon dès l’âge de 7 ans. Cette demande était sans doute plus une tentative désespérée de trouver enfin un ami, qu’un caprice d’enfant.

Ma première rencontre avec Malal est un de mes souvenirs les plus heureux. Alors, oui, j’aurais voulu une aventure dans les montagnes pour aller capturer mon premier pokémon. Mais voilà, apparemment la gamine Zir qui crapahute dans la montagne, ça aurait trop fait désordre, donc, pas de capture épique. Enfin, pas par moi, je ne connais pas les détails de sa capture, mais ce fût l’œuvre de mon père lors d’une de ses virées en montagne afin d’agrandir sa collection de pokémon dragon.

Bah, oui, vous croyez quoi vous, quand on est de la noblesse de Zêta, la moindre des choses, c’est d’avoir des pokémon dragon, pour bien prouver à tout le monde que nous on est fort, et plus on en a, plus on est fort…Ouais, je sais, c’est stupide, mais c’est comme ça.

Ainsi donc, mon père, me confia, un beau matin, une pokéball, non sans m’avoir fait un discours interminable sur les responsabilités que s’occuper d’un pokémon signifiait et sur le fait que ce n’était pas un jouet et que je devais me montrer digne non seulement de sa confiance à lui, mais de celle de la créature dont je m’apprêtais à devenir la dresseuse.

Quand, enfin, je pu faire sortir mon nouvel ami de sa pokéball, mes yeux s’était écarquiller de surprise et de joie en voyant apparaître un bébécaille qui me considéra avec une étincelle de curiosité et de défi dans le regard avec de lâcher un « Graouu ! » chaleureux auxquels je répondis, à la grande surprise de mon père, et à son plus grand désespoir aussi, par un «GRAOOOUUU ! » tout aussi chaleureux. Et il n’en fallu pas plus pour que Malal et moi devenions ami, Malal étant le prénom qu’il reçut de ma part juste après cet événement.

À partir de ce jour, lui et moi, ne nous quittions plus. Son esprit combatif s’allia à la perfection avec mon côté ingénieux et nous cherchions toujours de nouvelle activité à faire et de nouvelle chose à découvrir. Chose fort peu aisée, quand son air de jeu et d’exploration à une tendance terrible à se limiter au manoir familial (et vous comprenez maintenant la raison pour laquelle je sais qu’il n’y a pas de trésor caché dans la cave…Je la connais par cœur !).

Malgré cette soif d’aventure, mon envie de découverte fit de moi une élève studieuse et intéressée. Mes différents précepteurs n’eurent jamais à se plaindre de moi. En revanche, on ne peut pas dire qu’ils ne se sont jamais plaints de mon cher Malal. Ce dernier, que je rappelais très rarement dans sa pokéball, s’installait souvent dans un coin de la pièce, pendant qu’on m’enseignait différentes matières, et il arrivait, parfois, qu’à son réveil, il décide, arbitrairement que c’était la fin de la leçon et qu’il voulait, désormais que sa partenaire de jeu, puisse jouer avec lui. Ainsi, il lui est arrivé d’émettre des bruits désagréables jusqu’à que je sois obligé de le faire entrer dans sa pokéball, ou même de donner des coups d’écaille aux jambes de mes professeurs (sans leur faire du mal, il faut bien le préciser). Étrangement, cela avait tendance à se produire durant les cours qui m’intéresse le moins…Et tout aussi étrangement, nous avions tendance à se remémorer ses instants avec hilarité le soir même. Néanmoins, bien que je fus réprimandé pour ces événements, cela ne fut jamais des remontrances très pénible, car hormis ces écarts occasionnels, il a toujours été aussi sage qu’un jeune bébécaille, téméraire et aventureux, peut l’être.

Ainsi, les journées de mon enfance se sont partagées entre l’étude, le dressage de Malal (mon père m’encourageait sans cesse à l’entraîner), mes leçons d’escrime, et parfois, diverses activités de la vie de cour.

Et il en fut ainsi pendant des années.

Et sans doute, il aurait pu en être ainsi pendant bien des années encore, les cours prenant juste en complexité, et la vie de cour empiétant de plus en plus sur mes journées, j’imagine.

Néanmoins, il en est autrement. En effet, plus les années passaient et plus je me sentais enfermée dans une prison dont les limites se situaient à l’abord des dernières étales du marché où j’allais, parfois, accompagnée de ma mère, et dans laquelle on m’enseignait ce qu’était le monde extérieur sans jamais juger qu’il pouvait être nécessaire de le visiter pour le comprendre.

À partir de mes quinze ans, j’ai tenté, maintes fois, de persuader mes parents qu’il fallait voyager, mais jamais on ne me prêta une oreille attentive, et ma soif de découverte s’en trouva de plus en plus contrariée. Pendant un temps, j’ai pensé que j’étais anormale, et je me suis plongé dans l’entraînement de bébécaille avec une intensité sans borne pour oublier mes envies de voyage, et que mes parents soient fiers de Malal et moi quand nous triompherions de nos premiers adversaires. Sans compter que mon pokémon aussi avait besoin de distraction, lui aussi sentait une sorte d’appel à la découverte le parcourir et notre prison dorée lui pesait bien plus qu’à moi.

Néanmoins, cela ne nous occupa qu’un temps. En effet, il ne nous fallut pas longtemps pour comprendre que les rares matches qu’on nous autorisait à disputer n’était pas de véritable combat, et que les gens perdaient volontairement face à nous afin de ne pas s’attirer les foudres de la famille Zir. Mes parents me connaissant trop bien, savaient que j’aurais refusé de perdre ou de gagner un match pour ce genre de raison, et décidèrent donc de ne pas m’en informer tout en prenant garde que je ne me retrouve jamais face à un adversaire contre lequel j’aurai dû perdre. Quand la vérité m’apparut, le combat perdu tout son intérêt, et, d’un commun accord, Malal et moi avons décidé d’arrêter d’un disputé. Je me sentais salie par mes victoires imméritées et lui ne voyait pas l’intérêt d’un combat sans adversité.

La situation se dégrada de plus en plus entre mes parents et moi au fil des années, et plus je grandissais, plus ce fossé s’élargissait. Je ne comprenais juste pas comment ils pouvaient espérer de moi que je sois un jour la tête de la maison Zir, si on me laissait dans cette connaissance limitée à la théorie de ce qu’était le monde, et eux ne supportaient plus de me voir défier leur autorité, et leurs idées préconçues de ce que j’étais appelée à devenir.

Bien sûr, j’ai souvent ressenti l’envie de m’enfuir, mais, mes parents n’étaient pas nés de la dernière pluie et la surveillance qu’on exerçait sur moi ne cessa de croître, allant jusqu’au point où le seul moment où je me trouvais seul était la nuit lors des heures où j’étais censée dormir (et encore, un garde était posté devant ma porte). Quand je les interrogeais sur cette surveillance accrue, ils invoquaient à chaque fois le fait qu’une jeune fille de mon âge risquait bien plus d’être la cible d’attaque que l’enfant que j’avais été par le passé.

Cette surveillance m’empêchait de véritablement préparer une évasion et sans préparation je n’osais partir. Il serait de toute façon difficile de déjouer la méfiance de garder, si en plus je devais survivre dans les montagnes, cela rendrait la tâche compliquée. Pas impossible, Malal serait présent, évidemment, mais il y a bien des dangers dans les montagnes qu’un Bébécaille et sa dresseuse ne pourrait juste pas éviter ou terrasser.

Les jours continuèrent donc de s’écouler alors que je me sentais de plus en plus écraser par cet enfermement à peine dissimulé. Mais à l’approche de mes 19 ans tout changea. Il avait été plutôt facile de convaincre mes parents que m’offrir une plaque évolutive semblait être le meilleur cadeau envisageable, non seulement parce que je le souhaitais, mais aussi parce qu’il serait bien mieux pour image en société (et pour l’image de la famille Zir) que Malal devienne plus imposant.

Ainsi Malal, qui était à mes côtés depuis 12 ans, pu, enfin, évoluer. Nous étions tous les deux très fières de cet état de fait, mais nous savions aussi que cela nous offrait de nouveaux horizons. Il était désormais plus fort, et notre chance de traverser les montagnes sans encombre semblait d’autant plus grande.

Durant les jours qui suivirent cette évolution, je fis de mon mieux pour chaparder çà et là, dans le manoir, de la nourriture (souvent aider par Malal qui détournait l’intention), et je réussis même à obtenir quelques pokédollars de la part de ma mère (en prétextant qu’il me fallait une nouvelle robe et que, comme j’avais une escorte, je pouvais bien me rendre seule chez la couturière).

L’évasion du manoir fut plus facile que je le pensais, bien sûr Malal dû rentrer dans sa pokéball (ses écailles provoquant un son reconnaissable), mais il me suffit d’attendre la nuit, pour me faufiler par la fenêtre de ma chambre, et aller en ville.

Là, il fut facile de trouver une auberge pour la nuit. Et le lendemain matin, je fus parmi les premières personnes à quitter la ville. Me doutant que mes parents allaient lancer des gens à me rechercher, je quittai rapidement la route pour me déplacer dans les zones sauvages des montagnes, et laisser enfin Malal sortir.

Et nous y voilà, c’est là, au milieu des montagnes, que commence véritablement mon histoire….




Et vous ?


Prénom : (Facultatif)
Âge : (Facultatif)
Des remarques ? Je fais de mon mieux pour ne pas laisser de fautes derrière moi (en écrivant sur word et en passant mes textes sur scribens (qui parfois rajoute des fautes), mais il peut arriver que je laisse des erreurs assez moche, voir incompréhensible. Je vous prie d'accepter mes excuses à ce sujet, la cause en étant, en tout cas en partie, ma dyslexie.
Comment avez-vous trouvé le forum ? Via l'admin en rouge là-bas.
Qu'êtes-vous ? Octavia Zir 959714786


(c) Gnuh de Never Utopia.
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Niamh J. Laraens
Niamh J. Laraens
Alors tout d'abord bienvenue sur notre forum, ravi qu'il puisse plaire, même si tu le connais par notre ami commun x)

J'aime beaucoup ta présentation, malgré les quelques fautes que je ne relèverais pas :P J'ai pris beaucoup de plaisir à te lire, mais je trouve dommage que la fin de ton histoire, le moment ou elle réussit enfin à s'échapper, tu nous teases ce moment depuis le départ quasiment !!! Soit un peu fait à la va vite... (c'est seulement on avis XD) J'aurais aimé plus de détails, mais soit ! Je n'ai rien à redire je te valide des à présent avec un Ecaid comme Starter, tu peux aller faire ta T-Card et la mettre en signature, ainsi que débuter le rp sans plus tarder.

Bonne continuation dans notre monde rempli de légendes qui sont toutes à écrire ^^


Ps: Et j'adorerais te croiser en rp un de ces quatre nos deux personnages se ressemble étrangement, je pense que deux héritières en fuite de Zéta peut être assez sympa comme rencontre :P
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Feuille de personnage
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Octavia Zir
Octavia Zir
Merci beaucoup !
Pour l'évasion, je dois avouer que je ne voulais pas trop que l'histoire tire en longueur, et comme mon but était plus de faire comprendre pourquoi elle part, plutôt que comment, bah j'ai réduit cette partie. Mais j'en prend bonne note !
Quant au fait de rp ensemble, c'est quand tu veux (pour peu qu'on se trouve dans la même zone), je viens de lire ta fiche, je pense qu'en effet, cela pourrait être intéressant x)).
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Octavia Zir
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